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Bruno Gollnisch sera-t-il le prochain président de Renault-Nissan

Détenteur d’actions au sein du groupe Renault, maîtrisant à la perfection l’usage de la langue japonaise, Bruno Gollnisch estime avoir les atouts pour succéder au patron Carlos Ghosn, soupçonné de malversations financières. L’eurodéputé Rassemblement national (RN) a présenté sa candidature à la présidence du groupe automobile.

L’élu RN, qui affirme détenir 50 actions Renault achetées il y a plusieurs années, demande dans un communiqué la tenue d’une Assemblée générale du groupe et se déclare « candidat au conseil d’administration de Renault, et même, en tant que de besoin, à la présidence de cette société ».

Se présentant en « cost killer (spécialiste de la réduction des coûts, ndlr) d’un nouveau genre », Bruno Gollnisch promet, s’il est élu, de réduire « de trois quarts la rétribution anormalement élevée » du président de Renault et d’indexer les revenus des dirigeants sur « la progression des revenus de tous les employés » et « le cours de l’action » de l’entreprise.

L’eurodéputé fait valoir qu’il a été « avocat international » et connaît à ce titre « le monde des affaires ». Bruno Gollnisch, qui a notamment été professeur des universités de langue et civilisation japonaise, affirme aussi maîtriser « la langue, la culture, les usages et le droit (japonais), ce qui est un atout considérable » selon lui pour l’alliance Renault-Nissan-Mitsubishi.

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