C’est toujours les mêmes qui veulent se battre, et qui sont ridicules tant qu’ils ne sont pas à 5 sur un blanc isolé.
Notez que son coup n’est pas une gifle mais une tentative ratée de mettre le blanc KO sans blesser sa petite main.
Notez qu’ils adorent monter en pression progressivement en se collant comme s’ils étaient excités, ou en vous poussant. C’est une façon de vous tester et de se chauffer eux-mêmes tout seuls jusqu’à ce qu’ils trouvent le courage de vous frapper. A ce moment-là, c’est à vous de garder vos distances et vos bras en hauteur, prêt à parer ou à frapper. Face à l’escalade, la chose à ne pas faire, c’est le laisser lentement se préparer en jouant celui qui ne veut pas se battre. Oubliez les attitudes nonchalantes, pacifiques : c’est juste pris pour des signes de faiblesse, et tout signe de faiblesse va le motiver à « mordre ».
Avec eux, c’est dominant ou dominé. Il n’y a pas la case « mec sympa et peace qui reste cool ».
N’oubliez pas que la légitime défense tient compte du risque imminent : s’il vous agrippe par le t-shirt, il y a un risque imminent de coup de poing dans votre visage. Vous avez le droit de lui en mettre une en premier. La plupart des combats de rue sont gagnés par ceux qui frappent en premier, vous pouvez le vérifier dans les nombreuses vidéos de combat de rue qui circulent sur internet.
Si vous avez peur de frapper un individu qui s’apprête à vous frapper, « parce que la loi blabla », pensez au cadavre de Nice. Mieux vaut risquer un procès face à un membre de la diversité avec un casier gros comme le bras, plutôt que de finir à la morgue.
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