Le 6 juin 2017, un étudiant algérien de 40 ans (ça ne s’invente pas) a sauvagement agressé au marteau un policier sur le parvis de Notre-Dame de Paris avant d’être neutralisé par balle.
Le 4 septembre 2015 sur Radio Notre-Dame, le cardinal André Vingt-Trois, archevêque de Paris, essayait de nous émouvoir sur « la situation dramatique des réfugiés » qui « appelle un triple examen de conscience », « d’abord pour nous chrétiens ». Le 2 septembre il avait lancé un appel « pour que les chrétiens se mobilisent encore plus et prennent part réellement à l’accueil de ces réfugiés ».
« Un nombre important de chrétiens sont, je le sais, très mobilisés pour venir en aide aux migrants de toutes sortes de façons »
« La plupart des autres les regardent avec admiration mais ne savent pas toujours comment faire pour y participer »
Il avait fait la morale aux responsables politiques d’extrême-droite en déplorant « au lieu de mettre en œuvre une pédagogie qui permette aux gens de mieux comprendre ce qui se passe, se laissent entraîner dans une sorte de surenchère verbale »
« On se met à brandir l’épouvantail d’une invasion. L’Europe, avec plusieurs centaines de millions d’habitants, a la capacité d’accueillir, si on veut bien en prendre les moyens. »
L’archevêque de Paris a condamné les médias anti-migrants selon lui : « qui nous ont donné pendant des mois et des mois des images de nature à faire peur et ne présentent que trop peu comment ces migrants pourraient être accueillis et reçus ».
« Quand des milliers d’entre eux frappent à la porte, que peut-on faire ? »
« L’Évangile nous presse d’accueillir l’étranger »
« On ne demande pas à chaque chrétien d’accueillir tous les réfugiés, on lui demande d’accueillir qui il peut accueillir et de faire ce qu’il peut faire. »
« Tout le monde ne peut pas faire des choses extraordinaires, mais tout le monde peut faire quelque chose. »
Même lorsque le Père Jacques Hamel s’est fait égorger par 2 islamistes en pleine messe à Saint-Étienne du Rouvray en été 2016, l’archevêque de Paris n’a rien jugé plus important que de condamner le « silence des élites devant les déviances des mœurs » et la« légalisation de ces déviances ».
En gros, des islamistes ouvrent la gorge d’un prêtre en pleine messe dans la maison de Dieu, mais le problème c’est quelques sodomites à qui l’Etat permet un contrat parodique de mariage. Il n’y a pas plus important à dire, n’est-ce pas ?
Que va-t-il faire lorsqu’une bombe explosera en pleine messe à Notre-Dame ? Condamner le transhumanisme ?
Qui ne dit mot consent, et c’est notre devoir à tous de dénoncer l’immigrationnisme criminel d’où qu’il vienne. Cette xénophilie baveuse et indécente alors même qu’on massacre nos enfants en Europe. L’hypocrisie doit cesser, et les traîtres doivent être pointés du doigt. Cet amour de nos bourreaux qu’ils prônent n’a rien d’anodin : ce n’est pas de la sénilité, c’est de la complicité avec l’invasion et le remplacement ethnique que nous subissons. C’est sale, c’est criminel.
Quand l’Europe se redressera et qu’on fera le point sur l’origine de cette catastrophe, toutes les paroles et écrits de nos traîtres resteront. Il est essentiel de se désolidariser de cet « humanisme » monstrueux qui ose ne prôner aucune préférence pour notre sang. Ce même sang qui coule dans les caniveaux pendant que des vieillards nous expliquent que le mariage homosexuel a plus d’importance que ce déluge de merde qui n’a fait que commencer.