Le journaliste indépendant suédois Joakim Lamotte a parlé à une mère dont la fille de 11 ans a été violée par deux hommes.
La fille a Ă©tĂ© forcĂ©e au sexe anal et oral. Les jeunes hommes ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s mais relâchĂ©s peu après. À plusieurs reprises, la fille a rencontrĂ© ses violeurs lorsqu’elle se rend Ă l’Ă©cole. Ils lui ont ri au nez.
La mère vient d’être informée que l’enquête est close et que sa fille ne sera pas réparée.
La vie de sa fille a Ă©tĂ© dĂ©truite, dit-elle, et le seul recours qu’ils voient est de dĂ©mĂ©nager dans une autre ville. Elle critique vivement la manière dont la police a traitĂ© l’affaire. (…)
En raison de ces difficultĂ©s, le nouveau budget ne doit contenir aucune nouvelle proposition politique, ce qui signifie que la police ne recevra aucune nouvelle ressource. « C’est le monde Ă l’envers. Je pensais que les politiciens travailleraient pour le mieux des gens. DĂ©sormais, ils ne travaillent que pour leur mieux », Ă©crit Lamotte.
«Peu leur importe que ceux qui souffrent de ce gâchis politique soient des gens ordinaires. Tant qu’ils ne sont pas eux-mêmes exposés, il n’est pas important d’assumer la responsabilité de la Suède. Combien de filles doivent être violées en Suède avant que les politiciens agissent avec vigueur ?» «Il est grand temps de mettre fin au bac à sable politique», conclut-il.
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