L’année dernière, nous avons rapporté comment 200 églises et symboles chrétiens ont été endommagés ou détruits en un an dans un seul état allemand. Alors que l’antisémitisme reçoit beaucoup d’attention en Allemagne, la vague de haine anti-chrétienne «silencieuse» du pays se poursuit.
Récemment, la police a commencé à enquêter sur six cas de vandalisme dans des églises de la ville de Bamberg. Les dommages matériels totalisent plus de 20 000 euros, selon les enquêteurs. Des figures et des croix dans plusieurs églises ont été détruites ou endommagées.
« Les lourdes figures et la croix ont été jetées au sol avec force, je me demande qui a tant de colère contre l’église et la foi chrétienne. Il y a eu d’immenses dégâts matériels et moraux », explique le pasteur Marcus Wolf.
Basé sur les arrestations, les migrants sont impliqués dans plusieurs crimes de haine anti-chrétiens. En décembre de l’année dernière, un migrant pakistanais a tenté de faire sauter une église à Mannheim.
La semaine dernière, un autre migrant pakistanais a été arrêté pour avoir endommagé une église à Chemnitz. Comme plusieurs églises de la région ont été vandalisées, la police enquête pour savoir si l’homme est également responsable de ces cas.
Mais il y a eu des incidents plus graves : des personnes ont été battues pour avoir porté une croix dans des zones peuplées de migrants, menacées parce que chrétien ou assassinées par un réfugié pour s’être converties au christianisme.
Mais comme les médias allemands sont majoritairement de gauche, ils n’admettront probablement pas que leur chancelière, Angela Merkel, joue un grand rôle dans ce sentiment antichrétien. Elle a ouvert les portes à des millions de personnes originaires de pays où la haine et l’oppression des chrétiens sont «un mode de vie».
Dire la vérité sur le problème pourrait alimenter le soutien aux partis de droite et, par conséquent, la censure et l’ignorance dans les médias allemands sont préférées aux reportages honnêtes.