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Après la nouvelle tuerie à cause d’une « Gun Free Zone », Donald Trump propose d’armer certains professeurs

Des rescapés de la fusillade dans un lycée de Floride ont été reçus à la Maison Blanche, mercredi 21 février, par Donald Trump. Le président américain s’est dit prêt à envisager le port d’arme pour les enseignants. « S’il y avait eu un professeur adepte des armes à feu, il aurait très bien pu mettre fin rapidement à l’attaque », a-t-il fait valoir, rapporte France TV info.

Trump: « If you had a teacher who was adept at firearms, they could very well end the attack very quickly, and the good thing about a suggestion like that — and we’re going to be looking at it very strongly…but the good thing is you’ll have a lot of [armed] people with that. » pic.twitter.com/wGRSTDK38o

Les tueurs choisissent en effet des zones où personne ne pourra leur tirer dessus pendant leur massacre : cette invention gauchiste d’une bêtise criminelle s’appelle « les Gun Free Zones » ou zones interdites aux armes. Ces zones interdisent aux citoyens respectueux de la loi d’être armés, parce que les gauchistes sont partis du principe qu’un homme prêt à massacrer des dizaines de personnes de sang froid, va respecter la loi qui empêche le port d’arme dans cette zone. Les « gun free zones », c’est de la superstition digne de ceux qui croient aux talismans et aux cercles de protection magique avec du sel.

« Je ne trouve pas que les gun free zones protègent quiconque à part les criminels, et il n’y a aucune preuve qui prouve le contraire » explique le sénateur républicain Greg Steube, rapporte The New American. Au Texas, Colorado et dans d’autres États, certains établissements scolaires arment déjà leurs professeurs.

Le Figaro rapporte que Trump a évoqué devant les familles endeuillées la possibilité d’autoriser le port d’armes pour certains enseignants. Il a critiqué le concept de lieux sanctuaires où aucune arme n’est tolérée. Les professeurs concernés porteraient leur arme de façon dissimulée et suivraient une formation spéciale préalable, a précisé le président, en indiquant que cette piste méritait véritablement d’être étudiée. «Évidemment, cela s’appliquerait uniquement aux enseignants sachant manier une arme», a concédé le locataire de la Maison Blanche qui suggère d’armer 20% des effectifs des équipes pédagogiques.

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