Une nouvelle qui peut paraitre anecdotique aux yeux de certains mais qui en réalité ne l’est pas du tout : c’est même une information à la fois très préoccupante en matière de liberté d’expression certes, mais également et n’ayons pas peur des mots, en matière de conquête idéologique du territoire !
Le concept d’islamophobie est une vaste fumisterie développée par les musulmans intégristes ayant pour unique but de faire taire les critiques et d’imposer leur religion et leur mode de pensée – ce qui a été brillamment démontré par la journaliste Zineb dans son livre « Détruire le fascisme islamique » que je vous conseille fortement si vous ne l’avez pas encore lu –
Or les canadiens viennent, par cette motion, officialiser leur soumission à l’Islam en décrétant ouvertement que l’islamophobie telle que définie par les intégristes et leurs complices socialo-racailles non seulement existe en tant que telle, mais qu’elle devrait être légalement réprimée.
Rappelons le si besoin était, les crimes de haine et/ou le racisme, quelle que soit l’origine ou la religion, sont déjà évidemment visés par le Code pénal canadien.
Quelle serait donc la portée de cette motion si elle venait à s’appliquer ? Car ce qu’on ne peut ignorer à moins d’être parfaitement naïf, c’est le flou juridique que cela engendre : que regroupera cette fameuse notion ? Jusqu’où s’étendra-t-elle ? On peut craindre que l’interprétation des juges soit extensive, jusqu’à faire taire tout commentaire un tant soi peu hostile à cette religion. Si ça se trouve et prenons un exemple extrême, demain traiter quelqu’un de barbu au Canada sera considéré comme islamophobe et passible d’une lourde peine d’amende :
Mancel gare à tes fesses ! (source francesoir)
L’intérêt de faire émerger l’islamophobie comme un délit particulier ?
L’éternelle victimisation, d’une part. « Pas d’amalgames », « c’est pas ça l’Islam », on connait le refrain.
Plus ils tuent, moins c’est leur faute, évidemment.
D’autre part, c’est le fait de rendre encore plus tabou la critique de leur religion, donc de faire encore un peu plus avancer leurs pions dans leur destruction idéologique de la civilisation occidentale.
Leur religion devient officiellement, et par officiellement j’entends par la voie gouvernementale, intouchable et exempte de critiques, donc de révisions (on peut toujours rêver).
C’est une sacralisation de ce qu’on appelle chez nous l’Islam radical (en réalité l’Islam tout court).
Rendez vous compte de l’imposture de ces gens là – et des termes employés par l’initiatrice de ladite motion, une certaine Iqra Khalid (tiens donc!), le premier point est rédigé ainsi :
Que, de l’avis de la Chambre, le gouvernement devrait :
a) reconnaître qu’il faille endiguer le climat de haine et de peur qui s’installe dans la population.
Vous aurez compris que la haine dont il est fait mention traite explicitement de la haine anti musulmans : alors que nous sommes dans un climat évident de guerre civile où les muzz intégristes font la chasse à l’homme blanc et/ou catho, le Canada ose adopter une motion réprimant la pseudo-haine contre les musulmans ?
Quel est donc le contexte, le petit Bissonette qui est allé tirer sur des fidèles dans une mosquée il y a quelques semaines ? Et cela légitimerait cette motion ? Que dire des autres attaques, à savoir 99%, qui sont toutes perpétrés par des intégristes musulmans (Londres en est le dernier exemple)? Quelqu’un a-t-il vu fleurir quelque part en Occident une loi anti-christianophobie ?
Je le répète, cette motion adoptée, bien que n’ayant pas encore pris forme de loi pénale (mais ça viendra surement), est une percée significative de la pensée islamiste dans l’inconscient collectif de la civilisation occidentale.
Ce n’est pas seulement le Canada qui s’humilie en adoptant ce genre de mesures fantaisistes, c’est l’Occident tout entier qui passe pour un faible, pour un dominant devenant lentement mais surement un dominé.
Il est temps de réagir, et très vite.
Joe Bauers
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