« Au début, nous n’étions qu’un groupe d’amis passionnés d’histoire qui avaient envie de redécouvrir le quotidien des Gaulois » se rappelle Stéphane Gaudefroy, archéologue et membre des Ambiani.
Deux décennies plus tard, l’association a pris une tournure plus scientifique. Les recherches des archéologues membres de l’association ont même permis d’accéder à des données de première main.
Exemple avec le chaland gallo-romain, exhibé aux yeux du public ce week-end. En reproduisant les gestes de manœuvre, les chercheurs ont appris comment les bateaux étaient construits et entretenus.