Actualités

#Paris La vidéo de l’attaque terroriste au couteau par un homme en djellaba

Des blancs qui sortaient d’un Monoprix du 13e se font agresser par un jeune terroriste en djellaba. Le jeune français-comme-vous-et-moi est hésitant et n’avait peut-être pas prévu qu’ils se défendent, vu comme notre sport national c’est d’aimer se laisser tuer comme des chrétiens dans l’arène. Pris à la gorge et repoussé, il recule de plusieurs mètres et s’enfuit.

Il n’a que « légèrement » blessé la victime à l’oreille.

Est-ce que l’homme qui a transmis la vidéo de l’attaque à Le Point.fr va lui aussi prendre 10 000 euros d’amende comme le gérant du Casa Nostra pour n’avoir pas caché cet acte terroriste ?


Le client du Monoprix a dû avoir la frayeur de sa vie. Ce mardi soir vers 21 heures, alors qu’il sortait tranquillement d’un supermarché du 13e arrondissement de Paris, un pack de bière à la main, un homme a été agressé par un individu armé d’un très long couteau, caché sous sa djellaba. La victime a eu le réflexe de se protéger avec son avant-bras pendant qu’un de ses amis prenait l’assaillant à la gorge, le forçant ainsi à reculer de plusieurs mètres.

Sur la vidéo de l’attaque, que Le Point.fr s’est procurée, on voit l’agresseur rester immobile quelques secondes avant de prendre la fuite. Très véhément, l’individu, né en décembre 1996 à Paris, selon une source proche du dossier, n’a pas porté de coup fatal et n’a blessé que légèrement à l’oreille la victime, comme s’il avait retenu son geste.

Rapidement identifié, le suspect n’a pas été interpellé à son domicile, mais chez un de ses proches, ce mercredi matin, dans le nord de la capitale. Les deux hommes ont été placés en garde à vue et leurs appartements ont été perquisitionnés. Selon nos informations, ils ne sont pas fichés S ni même connus pour une quelconque radicalisation. Le parquet antiterroriste ne s’est, à ce stade, pas saisi de l’affaire. Les investigations, menées par le 3e district de police judiciaire (DPJ), vont devoir déterminer le mobile de cette agression, et si oui ou non l’assaillant connaissait la victime.

Le Point

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *